Mon amour, ça c'est pour toi:
Ils se croisent tous les jours
Comme un couple en amour
Elle lui sourit légèrement
Avec un tas d'arrières pensées
Regarde toujours où il va ce qu'il fait
Dans son retroviseur mais elle n'a jamais osé
Quand elle ne le voit pas un matin elle s'inquiète
Comme si il lui appartenait un peu dans sa tête
Elle n'a jamais ne serait-ce que baissé sa fenêtre
Il ne s'en rend meme pas compte à croire qu'il est bête
Que veux-tu je suis folle de toi
Mon coeur ne bat plus quand je te vois
Tu es beau tu es grand tu es fascinant
T'as des chevaux, des poneys, faisons des enfants
Quelle issue y-a-t'il pour moi
Mon corps ne bouge plus quand je te vois
Tu es chaud comme un gant autour de mes doigts
Et ton regard de braise est tellement froid
Jamais un simple hochement de tête
Comme un adolescent timide dans une fête
"J'adore vraiment ton style, comment tu t'habilles"
Je n'suis pas sûr que cette première phrase serait habile
J'aimerais déjà te dire "Je t'aime" sans consonne ni voyelle
Les choses se feraient d'elles-même, j'ai la flamme et la flemme
Dis moi que tu es fort comme cet étalon noir à côté de ce chêne
Que veux-tu, je suis folle de toi
Mon coeur ne bat plus quand je te vois
Tu es beau, tu es grand, tu es fascinant
T'as des chevaux, des poneys, faisons des enfants
Quelle issue y a-t-il pour moi
Mon corps ne bouge plus quand j'entends ta voix
Tu es chaud comme un gant autour de mes doigts
Mais ton regard de braise est tellement froid
Charismatique, jean magnifique
Trèfles à quatre feuilles sous les chevaux au galop
Cet homme qui pique, sa force hippique
A touché mon coeur dans sa chemise à carreaux
Que veux-tu, je suis folle de toi
Mon coeur ne bat plus quand je te vois
Tu es beau, tu es grand, tu es fascinant
T'as des chevaux, des poneys, faisons des enfants
Quelle issue y a-t-il pour moi
Mon corps ne bouge plus quand j'entends ta voix
Tu es chaud comme un gant autour de mes doigts
Mais ton regard de braise est tellement froid
http://lady-sai.blogspot.com/search/label/Lost%20in%20translation
jueves, 17 de marzo de 2011
martes, 8 de marzo de 2011
Parfois...
Parfois, quand plus rien ne va, ou alors tout va trop vite, tout s'écroule d'un coup. Les repères disparaissent, ton autre moitié réclame qu'à reprendre sa place, mais toi t'es tout simplement perdue. Tu te sens seule et à la fois pensée, oubliée et aimée, faible mais forte, une dure à cuire enfermée entre les murs de cet endroit qui n'est pas le tien mais qui y ressemble, parsemé de mini souvenirs de tous ceux que tu aimerais avoir près de toi, là maintenant entre tes bras. Cet endroit, froid, ensoleillé mais qui ne réchauffe point, perdu au centre de la terre, loins de la mer et de la brise, loins des phares qui illuminent dans le noir, loins de nous assis face à la mer et face à tout, loins du sable entre les doigts de pieds...
Parce que parfois, les mots ne sortent pas, ils ne voudraient même pas exister. Parfois, rien qu'un geste sufit, un calin, une épaule sur laquelle se poser, la tienne peut être.
Mais il faudra attendre. Attendre comme avant.
Et essayer de survivre tan bien que mal.
Parce que parfois, les mots ne sortent pas, ils ne voudraient même pas exister. Parfois, rien qu'un geste sufit, un calin, une épaule sur laquelle se poser, la tienne peut être.
Mais il faudra attendre. Attendre comme avant.
Et essayer de survivre tan bien que mal.
lunes, 7 de marzo de 2011
Volver
Cuando vuelva a tener vida propia, me prometo volver.
Cuando vuelva a tener cabeza, me permitiré volver a escribir.
Cuando... pero ¿cuándo?
Cuando vuelva a tener cabeza, me permitiré volver a escribir.
Cuando... pero ¿cuándo?
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